grégory grincourt

Grégory Grincourt, Dark side of the moon, 2016

Gégory Grincourt (né en 1974) vit et travaille à Calais.

« Les recherches de Grégory Grincourt, qui sont des expérimentations au sens propre du terme, visent à produire des expériences spectaculaires où nos sens sont interpellés par la lumière, les sons, les machines improbables… Les systèmes, les interactions qu’il produit entre ces differents modules et dispositifs, nous interrogent sur notre fonctionnement, la liberté, la relative gratuité du geste artistique. Les mixages, les hybridations qu’il réalise, entre éléments issus de la culture populaire, pratiques techniques et savantes, souvent en collaboration avec d’autres artistes, nous offrent un “bricolage” qui recycle nos références culturelles , sonores et visuelles; et nos émotions gonflées à l’adrénaline et à la testostérone. De ces modules sans cesse recombinés, customisés, Grégory Grincourt nous propose d’aller au delà d’une simple recherche de divertissement en prenant compte et en intégrant aussi la question du contexte dans lequel son travail est présenté. »

Emilie Bouvard

2016
Rejoint le Groupe A, coopérative culturelle
Exposition personnelle “Hero”, Euro2C, Paris.

2015
Festival “What the Flok”, Friche Belle de mai, Marseille.
Biennale du design, Saint-Etienne.

2012
Exposition «Dark side of the moon», LAAC, musée d’art contemporain de Dunkerque.

2010
55ème salon international d’art contemporain de Montrouge.
Salon jeune création, le 104, établissement artistique de la ville de Paris.

 

nicolas tourte

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Nicolas Tourte, Mise à jour v1.0 (homo disparitus) © ADAGP 2010.

Nicolas Tourte (né en 1977 à Charleville-Mézières) vit à Lille et travaille en France.  Il est représenté par la galerie Laure Roynette / Paris.

Nicolas Tourte a exposé notamment à La Piscine à Roubaix, au musée de Louviers en Belgique et à Mexico. Il a été lauréat en 2015 de la résidence Wicar de Rome et a présenté son travail dans le cadre de Lille 3000. Il a également conçu un ensemble de dispositifs multimédia pour la maison Hermès.

Le travail de Nicolas Tourte questionne avec humour et dérision la place de l’homme dans l’univers. Il traite principalement des cycles, de la répétition et de la notion de virtuel.

Tout ou presque débute par l’analyse dilettante et étendue des terrains dans lesquels il circule. Lors de ses voyages, dans les forêts du monde, autour de sa tasse de thé posée sur le bureau de son atelier, au-dessus du four micro-onde d’un ami où moisissent quelques fruits oubliés, entre les deux parties d’un gond de porte où la graisse suinte, il collecte des anecdotes, des images fixes et animées.

Une partie de ces représentations s’apparente à des notes impulsives, des ready-mades inavoués, des idées qu’il s’empresse d’immortaliser pour passer à d’autres. Le reste sommeille, en attente, dans ce qui pourrait être un vivier, une banque de nourritures et de ressources visuelles qui portera ses dividendes dans l’inframince d’une rencontre fortuite.

Il en extrait des fragments, lesquels enrichissent un patchwork numérique déjà bien étoffé. Celui-ci l’aide à appréhender les imaginaires contenus dans les mondes auxquels l’artiste est confronté. Ils lui permettent de questionner un élément simple comme une cuillère: pourquoi cette forme plutôt qu’une autre, sa spécificité, son rôle…

Qu’elles appartiennent à notre culture visuelle commune ou qu’elles fassent partie des endroits délaissés du regard humain, toutes ces choses à explorer sont pour lui l’occasion de faire mettre à nu et redécouvrir une structure, vulgariser une niche écologique, attirer l’attention sur de petits glissements de terrain dans l’espace domestique. Il relève et dissèque les aberrations des lieux qu’il transfigure. Ces détails, ces fragments, qu’il tente d’une certaine façon de mettre à jour, se présentent souvent, malgré lui, sous forme de “micro-paysages” dans lesquels l’échelle et les valeurs mutent. Les sciences de la terre le guident dans ses recherches plastiques, non pas qu’il s’improvise en scientifique; il se plait juste à extraire certaines idées et développements pour les mettre en émulsion dans sa production.

Cette manière innocente et sérieuse de présenter les choses glisse souvent vers l’ironie. Il met en scène les redondances et les mécanismes invisibles qui régissent nos vies. Il révèle un détail devant lequel on passe et on repasse à l’habitude sans s’y retourner, lui confère un nouveau statut, qui peut-être a déjà stimulé l’inconscient collectif.

2015
Lupanar, Festival Interstice, Station Mir, ESAM, Caen (FR)

2014
Pete and Repeat, Solo show, Galerie Laure Roynette, Paris (FR)
ZONA MACO México, Solo show, La tête dans les nuages, Hermès (FR)

2013
Mise à jour v 3.0, Nuit Blanche Eglise Notre Dame & Musée Arthur Rimbaud (FR)
Ovovidéopart, La balise, les 6000 (FR)
Entre deux eaux, Twin exhibition at L’Herbe Rouge & Special opening studio
Tutti frutti, Galerie L’Œil Histrion, Hermanville sur Mer (FR)

2012
Fabrique d’images, Musée de Louviers (FR)
Immersions, dans le cadre de Fantastic, Lille 3000 (FR)
Au champs, je mens, Centre d’art val de Sarthe La tête dans les nuages, Maison Hermès (FR)

 

Jason Michel

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Jason Michel, Télégraph, 2015.

Jason Michel vit et travaille à Lille.

Diplômé de l’École supérieure d’art et design de Valenciennes, il est actuellement engagé au Post-diplôme design et recherche de l’ESAD Saint-Étienne. En parallèle, il exerce sa pratique au sein du collectif Faubourg132 et en tant que designer indépendant. Depuis 2010, je m’intéresse aux différentes formes de l’appropriation et plus précisément aux diverses formes de « hacking ».

Ayant une approche pluridisciplinaire, il conçoit et fabrique des objets, des œuvres performatives et dispositifs numériques interactifs. Concepteur en art et design, il questionne les potentialités d’interactions offertes par les technologies numériques et place le public au cœur de sa démarche créative.

Les questionnements sur le hacking et sur la posture du hacker rejoignent bon nombre de problématiques contemporaines, notamment celles du vivre ensemble et du développement constant du numérique dans l’espace public. L’espace public peut être perçu comme dévolu aux seules activités commerciales ou au transit de passants. En réalité, il est – ou devrait être – le terrain privilégié de pratiques collectives. À la manière de la machine comme objet générateur, Jason Michel questionne le dispositif numérique comme outil médiateur.

2015
Telegraph, Maison Folie Moulins, Lille (FR)
Festival le Pile, Condition Publique, Roubaix (FR)
Biennale du Design, Saint-Étienne (FR)
2014
Braderie de l’art, Roubaix, (FR)

 

jean lain

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Jean Lain, exposition réalisée au 102 TER (Caen) dans le cadre de l’exposition personnelle « Happy Hour ». (2011) Avec la collaboration de la Station Mir. Matériaux mixtes (céramiques, bois, néons, miroirs, peinture et confettis), dimensions variables.

Jean Lain vit et travaille à Bruxelles

« Les productions de Jean Lain n’ont pas de frontières ni véritablement de propre champs d’action. Sont privilégiées la décontextualisation de formes et de fonds ainsi que l’importance du travail in situ et du rapport avec le spectateur. L’ensemble des travaux oscillent entre une forme d’enchantement juvénile sans complexe et une vision ironique de nos sociétés contemporaines. (…)

Jean Lain n’existe pas simplement en tant qu’ombre envahissante des symboles de la société de consommation, dans un style post-pop. Ses différentes pièces s’apparentent plus à des vanités contemporaines, des objets-sculptures aux dimensions monumentales, des jouets géants inanimés qu’on aurait arrachés à l’oubli, une temporalité intérieure, nostalgique. La fragilité apparente des sculptures évoque le caractère éphémère de toute chose. (…)

Des typographies pailletées, des lumières colorées, des néons des ballons et des pâtisseries, un “bling bling” assumé, tout l’univers de Jean Lain se déploie comme une fête inachevée et fantomatique, la vitrine d’un monde en suspens où la main de l’artiste s’efface au profit de l’image.  »

Mathilde Jouen

2016
La Centrale/LaB, Bruxelles (BE)
La Factorine, Nancy (FR)

2015
Transformer, 12th Annual Silent Auction and Benefit Party, Washington (USA)
LaVaLLÉe, openning, Exposition collective, Bruxelles. (BE)
open yourS eyeS, commande publique. (Margate, Kent, UK)
Le trait, parcours d’art contemporain en pays d’Auge (FR)
Hors d’œuvres 7, exposition collective à l’espace d’art contemporain Camille Lambert, Juvisy-sur-Orge (FR)
Collection Fantôme, Exposition collective, Mons en Baroeul (FR)

2014
Nouvel arrivage 4, exposition collective à l’espace d’art contemporain Camille Lambert, Juvisy-sur-Orge (FR)
Quoi De neuf ? Présentation des acquisitions récentes de L’Artothèque de Caen.
Corpus crispy, exposition collective à la galerie Lionel Louis, Charleville Mézière (FR)
Crac, 14ème Biennale d’arts actuels, Champigny-sur-Marne (FR)

 

cécile wesolowski

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Cécile Wesolowski, Le testament français, 2014 – Exposition Made in Potsdam, Kunstraum Potsdam. Projection vidéo numérique sur paillettes.

Cécile Wesolowski vit et travaille à Berlin.

La pratique de Cécile Wesolowski consiste à vous faire entrer, d’une façon souvent humoristique, dans un univers parallèle qui déforme votre perception. Ces récentes installations tournent autour de la lumière, la surface et la réflexion de la lumière sur celle-ci. Les matériaux pauvres utilisés sont poussés vers le sublime. La pratique délicate du pliage et les formes organiques ont tendance à amplifier l’utilisation de matériaux bruts. La couverture de survie se travaille comme la feuille d’or, le film irisé et les paillettes en plastique comme du cristal. Malgré l’utilisation d’ersatz du luxe, la combinaison des matériaux et l’utilisation de la lumière se tient en dehors du vulgaire tout en restant à sa frontière, confrontant leur vulgarité en donnant une sophistication légitime. Son travail vidéo explore la plupart du temps des personnages féminins dans des situations rejouées se référant à l’histoire du cinéma, aux feuilletons, à internet et au processus d’auto-production. La façon dont elle conserve une position décalée tout en utilisant l’humour, déforme les frontières de l’imagination, de la séduction et de la brutalité.”

Fleur Helluin for the exhibition “The blank cartridge” June 2014

2016 / Memorial, OBEN Projektraum, Potsdam (DE)
2016 / The show must go on, Mirror Mirror, Greenhouse Berlin( DE)
2015 / La vie de château, Das Gute Leben, Potsdam (DE)
2015 / Petit bassin et poissons japonais, Trait, Eglise Saint Germain de Furnichon (FR)
2012 / I know What you did, gallery la lineaartecontemporanea, Rome (IT)

 

marie hendriks

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Marie Hendriks, Veilleuses, dimensions variables, 2012.

Marie Hendriks (née en 1981) vit et travaille à Courtrai.

Marie Hendriks fait appel à tous les courants ayant recours à l’artifice comme le Maniérisme, le Baroque, le Rococo ou encore la littérature fantastique du XIXe siècle. Son oeuvre plonge le spectateur dans un univers qui se situe entre le vraisemblable et le magique. Par une mise en scène sophistiquée, elle s’attache à transfigurer la réalité en créant des échos entre la narration qui émane de ses oeuvres et les espaces d’exposition qui deviennent alors décors, et brouillent ainsi les frontières entre espace réel et artificiel.
Après des études à l’Ecole Nationale des Beaux-Arts de Bourges, elle intègre le studio national des arts contemporains le Fresnoy dont elle sort diplômée en 2007. Elle a exposé en France et en région (Roubaix, Calais), en Belgique, en Italie, en Suisse et aux Pays-Bas.

expositions (sélection)
2014 / Exposition au FRAC Nord-Pas-Calais, au Château Coquelle et au musée portuaire de Dunkerque, au CIAC de Bourbourg, et au musée du dessin et de la gravure à Gravelines (FR)
2013 / Les Jardins de Drulon, Loye/Arnon (FR)
Local Exotism, Watch this space / 50 Nord, Lieux-Communs, Namur (BE)
2012 / Maison Delauney, Musée de Bourgoin-Jallieu (FR)
Adhemarie Show, Le Château des Adhémar, Montélimar (FR)
2011 / Les veilleuses, Spazio Cerere, Rome (IT)
2010 / POMODORI vs STARS, La Maison Rouge, Paris (FR)
No Dreams, No Screams, Oda Park à Venray (NL)
Brave Girls Restless Cows, Het Raam à Venlo (NL)

 

anne benoit

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Anne Benoit, On n’a jamais été si près du but, installation, Espace 36, Saint-Omer, 2003.

Anne Benoit (née en 1956) vit et travaille à Lille.

Depuis 1977, je travaille à partir d’images photographiques, essentiellement publiques, (capture de journaux), mais aussi personnelles. Ces images ont d’abord été intégrées dans des collages, accompagnées d’écritures de dessins et de peintures. Les images ont ensuite été les matériaux d’installations au Bar à Roubaix, au Centre d’Art à Lille, en Allemagne, en Pologne… Brutes, enduites de colle, agrandies sur tissus, posées au sol ou sur des meubles. Ces images choisies décrivent le monde dans lequel je vis. Proche ou lointain, inquiétant ou réconfortant, ce qui est présenté et parfois représenté, atteste de ma présence au monde, comme individu, témoin et acteur.
Eviter les surfaces mortes. Depuis 2010, je me suis « mise » à une série de peintures reprenant à la fois le principe du collage et du système répétitif de signes et de décors mais travaillant uniquement avec le médium peinture. Sans colle. Ces peintures conçues comme un jeu global n’ont jamais été montrées.

Parallèlement j’ai continué à écrire des textes sur le travail de certains artistes (Robert Delporte, Jacqueline Gueux, Janusz Stega, Valérie Vaubourg…) publiés dans 50°Nord ou dans des catalogues.

Anne Benoit

Installations
2004 / Bercé par les flots, plage de Zuydcoote (FR)
2003 / On n’a jamais été si près du but, Espace 36, Saint-Omer (FR)
2002 / Entre chien et loup, cent lieux d’art, Solre-le-Château (FR)
2002 / 15 artistes en VRAC à la courée Dubar-Dekien, Roubaix (FR)
2001 / Bureau d’Art et de Recherche, Roubaix (FR)
2001 /Raamwerk, Oostende (BE)
2000 / Sol, Centre d’Arts Plastiques et Visuels, Lille (FR)
1999 / Hotel / Hôtel , Bergisch-Gladbach (ALL)

Peintures mêlant collages, graphismes et écritures
2008 / Jean Ferlicot, un atelier, Galerie commune, 36 bis, ERSEP Tourcoing (FR)
2007 / une utopie productive Musée de la Piscine, Roubaix (FR)
1996 /Empreintes, Neuville-en-Ferrain (FR)
1995 / Galerie Geneviève Godard, Lille (FR)
1992 / Galerie Empreintes, Anzin-Saint-Aubin (FR)

 

fabien marques

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Fabien Marques, Rueil-Malmaison (after Sisley), photographie jet d’encre encadrée, 40 x 50 cm, 2011.

Fabien Marques (né en 1982) vit et travaille à Tourcoing et Dunkerque

Les travaux de Fabien Marques résultent d’un profond intérêt pour la beauté de l’ordinaire, l’esthétique du banal. En interrogeant des endroits qui n’attirent généralement pas l’attention, il opère entre les frontières indéfinies du document et de l’art. Traçant une ligne entre l’approche baudelairienne du peintre de la vie moderne, l’objectivité allemande et la tradition vernaculaire des coloristes américains, Fabien Marques porte un regard sur un espace dépourvu de représentation humaine. Cette absence suggère la présence, créant un point de rencontre entre les forces expressives, techniques et sociales inhérente à l’image photographique.

expositions (sélection)
2014 / Der Mannergarten, Cirkulations Centralen, Malmö (S)
2013 / Archifoto 2012, HEAR, Mulhouse (FR)
Un point se trouvant à la même distance de tous les points, Journées du Patrimoine, Tourcoing (FR)
2012 / Archifoto 2012, Galerie La Chambre, Strasbourg (FR)
Quinzaine Photographique Nantaise, Galerie Rayon Vert (FR)
Sint-Lukas Master Program Exhibition, VGC, Bruxelles (BE)
Copenhagen Photo Festival, Copenhague (D)
Manifesto 11, A Comedy Of Errors, Glasgow (UK)
Festival for Visual Art Demonstration #3, Recyclart, Bruxelles (BE)
CubeOpen, Cube Centre for Urban Built Environment, Manchester (UK)
2011 / Futureproof 2011: New Photography in Scotland, Street Level Photoworks, Glasgow (UK)
Will nothing be understood by the totems of today?, Studio 41, Glasgow (UK)
2010 / Maelstrom, WASPS Studio, Glasgow (UK)
2009 / Red Light, Newberry Gallery, Glasgow (UK)
2008 / La vie comme un roman, Les Photaumnales, Théâtre du Beauvaisis, Beauvais (FR)

 

jérôme progin

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Jérôme Progin, De beaux restes, suie sur céramique, dimensions variables, 2012.

Jérôme Progin (né en 1972) vit et travaille à Lille

Dans son travail qui mêle dessins, installations et films d’animation, Jérôme Progin utilise souvent la calcination, le feu et les matériaux qu’on peut lui associer : le bois, le verre, la cire, le papier. Son intérêt porte sur des matériaux aux origines modestes et familières dont il peut en modifier la nature, altérer l’apparence. Le plus souvent les dispositifs s’élaborent tels des mises en fiction jouant avec avec des certitudes et des allusions.

Expositions (sélection)
2014 / Salon du dessin et multiple, La Madeleine (FR)
Exposition Teken, Gand (BE)
Les Maisons Folles, Ronchin (FR)
Corpus Crispy, Charleville-Mézières (FR)
Achemar, La Malterie à la Gare St-Sauveur, Lille (FR)
Déjouer l’image et le son, Loft d’Anthelme, Lille (FR)
L’art à la rue, Cité Nature, Arras (FR)
2013 / Œuvres vues de l’intérieur, l’inventaire, Hospice d’Havré, Tourcoing (FR)
Traversée, commissariat Christian Rizzo, La Malterie, Lille (FR)
Présentation du film Pistes Noires (production CRRAV et équipe Monac1) et de l’édition (Nuit Myrtide), Raismes (FR)
Résidence à Scopa, Ajaccio (FR)
2012 / Les Maisons Folles, Ronchin (FR)
Galerie La prédelle, Besançon (FR)
2011 / Exposition Hybride, Douai (FR)
Galerie Bliss Concept, Ajaccio (FR)
Pistes Noires, 1er Mouvement, Salle Louis Aragon, Raismes (FR)

 

 

sarah barthe

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 Sarah Barthe, Juliette, collages (tissu et/ou papier) in situ, 2012.

Sarah Barthe (née en 1985) vit et travaille à Bordeaux.

Puisant son inspiration dans le monde de l’enfance, Sarah Barthe s’intéresse à la complexité des rapports que l’on peut entretenir dans la construction de sa propre identité. Par ses dessins, collages et installations, elle s’interroge sur les normes (sociales, familiales, ou encore sexuelles), tout en pervertissant la représentation lisse et rassurante de tout un univers. Le spectateur se projette alors dans un face à face troublant, parfois douloureux, avec sa propre histoire, ses peurs ou ses fantasmes.

Expositions récentes
2014 / «Freak wave», Point Ephémère, Paris (FR)
2013 / «L’Agrapheuse», Galerie L’Envers, Bordeaux (FR)
2012 / «Grotesque», Galerie Le Mat, Montpellier (FR)

Publications récentes
2014 / «Freak wave 5», Editions Bruit Blanc, Paris (FR)
2013 / «Rifuel Fanglant 2», Fanzine graphique, Montpellier (FR)
2011 / «Père et mère», Editions de la Martinière, Paris (FR)

 

 

françois marcadon

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François Marcadon, Autoportrait, 2013.

François Marcadon (né en 1981) vit et travaille à Bruxelles.

L’univers déployé par François Marcadon relève avant tout du faux-semblant. D’apparence élégante, d’intention esthétisante, chacune de ses œuvres mêle l’amer au doux-sucré, en découvrant sous sa surface édulcorée un fond fantasmagorique plus inquiétant. Ces images fantasmatiques (tour à tour rêve, cauchemar ou allégorie) installent l’espace de la mythologie personnelle de l’artiste, qui offre en partage une vision tant onirique que cruelle, à l’instar de son propre rire, omniprésent, dont on ne sait s’il est signe de réjouissance ou de sarcasme. (…) La couleur de la chair, réhaussée d’un rose jovial et quasi enfantin, ne doit pas tromper : elle opère dans sa crudité à la mise à nu d’une incarnation dont l’humanité est bénéficiaire, mais aussi victime. La vie, rêvée ou vécue, organique et fantasmée, se saisit alors dans la figure du pharmakhon grec, tout à la fois remède et poison. (…) Chez François Marcadon, l’irruption du corps se fige toujours entre menace et promesse, comme un potentiel libidinal explosif, à la peau dorée.

Florian Gaité, mars 2013

Expositions personnelles
2014 / «Look and feel your best», MOCA, Taipei(TW)
2013 / «Golden days», Point Éphémère, Paris (FR)
2010 / «Welcome to my world,» Espace En cours, Paris (FR)
«Bite me#2», Librairie St Hubert, Bruxelles (BE)

Expositions collectives
2014 / «Tresses 13 & 14,» Galerie Made in Town, Paris & la Maison des Tresses et Lacets, La Terrasse-sur-le-Dorlay(FR)
2013 / «RonchauxRoom,» Besançon (FR)
«Chat-bite!», Bureau d’Art et de Recherche, Roubaix (FR)
2012 / «Ronchaux Room», Besançon (FR)
«Sacré blanc !», Musée Jean Lurçat et de la tapisserie contemporaine, Angers (FR)
«Blanche est la couleur», Passage de Retz, Paris (FR)

 

élodie wysocki

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 Élodie Wysocki, Série Les Darwinettes, résine et fausse fourrure, 100 x 90 x 35 cm, 2014. © Boris Lafargue

Elodie Wysocki (née en 1985) vit et travaille à Lille.

Elodie Wysocki développe un travail polymorphe dans lequel l’humain, l’animal, l’insecte se mélangent autour des notions d’origine, de mutation d’évolution, de cycle, de traces ou encore de mémoire. Son travail prend appui sur les sciences naturelles et l’archéologie, elle expérimente et développe de nombreuses techniques de création en fonction du sens que celles-ci peuvent amener dans sa production.

Expositions récentes
2014 / «Strugle for life», Galerie Anne Perré, Rouen (FR)
2013 / «Portraits», La résidence, Dompierre-sur-Besbre (FR)
2012 / «Transfiguration», Galerie Gabriel & Gabriel, Paris (FR)
2012 / «SLICK ar t fair», Paris, galerie G&G, Paris (FR)
2011 / «Histoires Naturelles», Galerie Robespierre, Grande-Synthe (FR)

Prix
2013 / sélection pour le «PRIX ICART», Espace Pierre Cardin, Paris (FR)

 

élizabeth saint-jalmes

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Elizabeth Saint-Jalmes, Empyrée, Image vidéo sonore, 2011.

Elizabeth Saint-Jalmes vit à Paris, travaille partout

Ses dessins, vidéos, sculptures, performances, puisent dans le chaos pour faire remonter les processus, et parient qu’ainsi une transformation de l’inquiétude en pensée puisse avoir lieu. De la pente qui oscille entre accidents, cheminement, ce que l’on croit savoir et ce qui nous échappe, jaillissent des formes issues des champs de la nature et de la culture. L’univers formel flirte avec le trou, la frontière entre les états, l’informe, la digestion, la transformation.

La recherche use d’une médiation de symboles empruntant au minéral, au végétal et au biologique en postant le grotesque (la merde, l’objet détourné, les formes satyriques) comme intercesseur entre l’occulte et l’homme, à la manière de rituels des sociétés traditionnelles qui voulaient connecter l’homme à plus grand que lui, et tout simplement à ce qu’il n’est pas.
Un va et vient entre le geste et sa résultante, le motif, est ici engagement, condition de vie, mobile, moteur, motif d’existence

Expositions personnelles
2013 / «Le mardi, je commençai la figure», Gabriel & Gabriel, Paris (FR)
2012 / «Au motif du dessin», Gabriel & Gabriel, Paris (FR)
2010 / «Distor tions», Atelier Mar tel, Paris (FR)
«Mon pyjama Mickey», ESAT, Evreux (FR)
«I expend myself with something», Galerie d’ICI, Le Havre (FR)

Expositions collectives
2014 / «Quelles sont nos ruines», Les ateliers du vent, Rennes (FR)
2013 / «DDessins», galerie Gabriel & Gabriel, Paris (FR)
2011 / «Parisonic – hear and now», Les instants chavirés, Montreuil (FR)
2010 / «Traces en mouvement», Centre d’ar t Bastille, Grenoble (FR)

 

quentin scalabre

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Quentin Scalabre, Hu Jin Tao, huile sur toile, diam. 121 cm, 2011.

Quentin Scalabre (né en 1981) vit et travaille à Tourcoing.

Principalement influencé par le « Réalisme capitaliste », de Sigmar Polke, Konrad Lueg et Gerhard Richter, Quentin Scalabre continue d’interroger la culture de consommation du capitalisme , et plus largement les interactions entre l’Homme et son milieu, avec comme axe central la théorie de l’ « anthropocène » désignant une nouvelle ère géologique supposée, caractérisée par l’influence de l’Homme sur l’écosphère terrestre. Après avoir puisé son inspiration dans la presse, le plasticien a aujourd’hui suivi le passage à l’ère numérique et trouve dans le monde connecté, un flot d’images à trier, filtrer et retranscrire en surface ou en volume. Plus que d’éventuelles réponses ses productions sont des questionnements, où la simplification formelle permet de suggérer la complexité sous-jacente des sujets abordés.

Expositions
2014 / «exposition collective», Le Daume, Paris (FR)
«exposition collective», L’univers, Lille (FR)
2010 / «Campagne art», Lacouture (FR)
«Bestioles», les Esserres, Lavacquerie (FR)
2009 / «I want you», Galerie Chatillez, Tourcoing (FR)
2007 / «Neue Galerie», Berlin, Tacheles (DE)
«Campagne art», Lacouture (FR)
2006 / «Pour un art», Parc Mosaïque, Houlpin Ancoisne (FR)
«Check-point», exposition évolutive et itinérante, Tourcoing/Varsovie (FR)
2005 / «Vachier», Galerie Tiglatz, Beauvais (FR)

 

alfonse, paul et les autres…

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Alfonse, Paul et les autres, ils arrivent, wall drawing, technique mixte sur papier, 237 x 403 cm, Atelier 11 bis, Boulogne-sur-Mer, 2014.

Alfonse,  Paul et les autres… (né en 1981) vit et travaille sous plusieurs identités à Calais et Boulogne-sur-Mer.

« Alfonse, Paul et les autres… » sont autant d’hétéronymes, de fictions identitaires à partir desquelles je conduis ma démarche artistique. La création d’un nouvel avatar répond à une double logique : adaptation stratégique sur le marché des positionnements sociaux et plaisir ludique du changement d’identité. Quel que soit le pseudonyme sous lequel je travaille, le faire ne varie pas. J’extraie des images de leur contexte d’origine pour les réinterpréter brutalement par le dessin et la peinture. La facture gestuelle relève du bricolage le plus fruste : supports découpés, déchirés, formes dessinées au cutter, agrafages sauvages, constructions précaires… Tout en étant mus par une même scansion vitale et organique, les hétéronymes incarnent des forces psychosociales antagonistes. Alfonse Dagada est ainsi un artiste « carnavalesque » qui renverse les hiérarchies. Il met en scène le combat incessant entre les pulsions de vie et de mort avec une crudité et une outrance pornographiques. Paul Martin est au contraire un artiste des plus policés, en apparence tout du moins. Il aborde avec distance et ironie les sujets les plus mièvres et conservateurs. Ces différentes hypothèses esthétiques sont menées de front et participent d’une même recherche, construction patiente d’une subjectivité mouvante, décentrée et polymorphe.

Alfonse, Paul et les autres, septembre 2013.

alfonse dagada = [ad]
paul martin = [pm]

expositions individuelles
2013 – « insécurité : bande organisée », galerie Anne Perré, Rouen (FR). [ad]
2012 – « insécurité (in progress) », Fructôse, Dunkerque (FR). [ad]
« Tabourets IqueueA (la meute) », galerie Anne Perré, Rouen (FR). [ad]
2011 – « exhibitions », Zone de Confusion, Saint-André-lez-Lille (FR). [ad]

expositions collectives
2014 – « open up ! » inauguration de l’Atelier 11 bis, Boulogne-sur-Mer (FR).
« art up ! », stand de la galerie Anne Perré, Grand Palais, Lille (FR). [ad]
2013 – « silencio », musée de Boulogne-sur-Mer, Boulogne-sur-Mer (FR). [ad]
« st-art », stand de la galerie Anne Perré, Strasbourg (FR). [ad]
« hors-d’oeuvre », « Chez Achille », Boulogne-sur-Mer, (FR). [ad] [pm]
« sea you soon », Welchrome, Boulogne-sur-Mer, (FR). [ad] [pm]

commandes publiques
2014 – « ALL YOU CAN EAT », wall painting, Station Marine de Wimereux, Université Lille 1, réalisé avec le soutien de VillArt, Wimereux, (FR).
2013 – « balises urbaines », intervention sur trois colonnes d’affichage public, production Welchrome / ville de Boulogne-sur-Mer, (FR). [pm]

 

julien lescoeur

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 Julien Lescoeur, Sans-titre, photographie, tirage lfochrome, diasec sur aluminium, 125 x 175 cm, 2008.

Julien Lescoeur (né en 1978) vit et travaille à Strasbourg et Berlin.

Dans notre environnement quotidien qu’est la ville, Julien Lescoeur trouve une matière plastique et sémantique à partir de laquelle il construit un univers insoupçonné.

Du milieu urbain, le photographe en traque les éléments fantomatiques : la non présence des habitants, l’état des lieux de transit ou des espaces privés rendus déserts aux heures Intermédiaires, dans le sommeil de toute activité… l’artiste créé des univers autonomes au pouvoir de suggestion fort et singulier. La part descriptive dans l’approche du photographe laisse entrevoir l’importance du personnage, du lieu ou de l’objet qui nous est montré. L’image se compose, se centre et se construit autour de lui et il sert l’espace – transfiguré par lui. Présence ou non présence, là est l’enjeu. Cette position du regard confère à ces photographies un caractère dense et une distance empreinte d’objectivité, neutre et silencieuse. La lumière y est le révélateur de ces dimensions, de ces possibles, que le photographe, sans mise en scène, distingue et rend visible.

Marjorie Deshayes

Expositions récentes :
2013 – «Art Karlsrhue», Galerie Jean-Pierre Ritsch-Fisch, Karlsruhe, Allemagne.
2012 – «Sprechstundenzeiten», Electronic Beats, exposition personnelle, Berlin, Allemagne.
«St’Art», Galerie Jean-Pierre Ritsch-Fisch, Strasbourg, France.
2011 – Galerie d’art de Créteil, exposition personnelle, Creteil, France.
«La Ville Moderne», exposition collective, Musée d’Art Moderne et Contemporain de Strasbourg (MAMCS), France.
2010 – «Jeune Création», exposition collective, le 104 / le Centquatre, Paris, France.

 

 

guillaume abdi

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Guillaume Abdi, Sans titre (Spirit of ecstasy), bois, mousse PU, paillettes, boules plastiques, peinture vernie, 400 x 400 x 400cm environ, 2008.

Guillaume Abdi (né en 1976) vit et travaille à Poitiers.

Guillaume Abdi est peintre et sculpteur. Son travail plastique développe une recherche formelle et culturelle autour des notions d’hybridation, de combinaison et d’assemblage. Son oeuvre est polysémique, faite de croisements. Métissage des matériaux, des genres, des styles et des formes. L’artiste nous emmène ainsi dans un univers surprenant, entre lyrisme et rock, artisanat et maîtrise d’oeuvre, maladresse et justesse, délicatesse et rudesse, modernisme et contemporanéité.

Expositions récentes :
2012 – ROYAL PICARDY, Musée du Touquet-Paris Plage.
2011 – THE NAVIDSON RECORD, Galerie Ilka Bree, Bordeaux, France.
2010 – THROUGH THE MOUNTAINS, Château de l’échelle, La Roche sur Foron, France.
2008 – SPRIT OF ECSTASY, La Générale en manufacture, Sèvres, France.
2010 – DRAWING ROOM, Carré Saint-Anne, Montpellier, France.
2009 – SALON DU DESSIN CONTEMPORAIN, Carré Saint-Anne, Montpellier, France.

 

 

léa bly

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Léa Bly, Parasites, projections vidéo de neige de télévision, simulation du projet, dimensions variables, 2013.

Léa Bly (née en 1985) vit et travaille à Lille.

En se confrontant à des matériaux que nous utilisons couramment, Léa Bly joue à créer des surfaces et des volumes. L’inscription de son geste dans un espace tend à rendre compte de la physicalité d’une matière (sa masse, sa densité, sa plasticité, son aspect : dur, mou, granuleux, vaporeux, lisse…). C’est un jeu de perceptions à la fois visuel et gestuel. Elle investit deux champs d’exploration : l’un matiériste et l’autre plus conceptuel, tout en privilégiant la pratique. La répétition du geste, le changement d’échelle et le déplacement sont pour elle autant de moyens de donner à voir les qualités plastiques de ces matières. La frontalité de ses pièces, leurs dimensions à l’échelle du corps et leur densité créent un dialogue direct avec le spectateur. Il se trouve alors dans un rapport physique à l’œuvre.
Expositions récentes :
2013 – Fuckastic, atelier Granules, Lille.
2010 – Salon de Montrouge, La Fabrique-Montrouge.

 

 

élodie ferré

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Élodie Ferré, Tachiagareba horomaku hoshizora, pièce électro-acoustique et vidéo pour bande et accordéon, Théâtre royal de Mons, mai 2011.

Élodie Ferré (née en 1982) vit et travaille à Lille.

Élodie Ferré, toute jeune plasticienne issue de l’école des beaux-arts de Tourcoing, construit peu à peu son petit univers, entre dessins, vidéos, photographies et performances. Cette artiste a plus d’une corde à son arc. Elle a intégré le cycle professionnel en piano au CRR de Lille ; elle est aussi compositrice en électro-acoustique, elle mène un projet solo pop sous le nom de Lofie… Une grande ouverture dans le champ de la musique qui se retrouve très présente au travers des autres médiums qu’elle emploie. La musique tend à devenir souvent le support, voir l’objet de performances qu’elle réalise scéniquement ; versions sonores, mais aussi sous-jacentes, par l’emploi des variations, des motifs. Une artiste qui louvoie constamment de médiums à médiums. Relever aussi qu’Élodie Ferré fut élève de Tania Mouraud, qu’elle apprécie particulièrement John Cage, ne fait que renforcer les choix de l’artiste dans sa démarche…..

Valéry Poulet

Expositions récentes :
2012 – Présentation de War Game (composition : Ferré elodie/ Piano : Ferré elodie; Violoncelle : Boutten Helene, Max/msp : Carl Faia), pièce pour piano,violoncelle et vidéo dans le cadre de Sound Up, salle des Albalestriers, Mons (Belgique)
2012 – Kentish Drawings, BULCO, Dunkerque.

Prix
2011 – Lauréate du 9ième forum de la jeune création musicale contemporaine, organisé par la Société Internationale pour la musique Contemporaine (Radio France). Présentation d’une pièce électro-acoustique pour accordéon et vidéo.

 

 

michel le belhomme

welchrome-michel-le-belhomme-bete-aveugle Michel Le Belhomme, « La Bête Aveugle », photographie, 2009/2013.

Michel Le Belhomme (né en 1973) vit et travaille à Rennes.

Michel Le Belhomme pratique le « lent protocole sculptural qui fait tableau » (Christian Gattinoni), dans le sillage des sculptures involontaires de Brassaï et des ready made à l’échelle et au point de vue rectifiés par Patrick Tosani. Du premier il a retenu l’utilisation des matériaux sans qualité, leur pouvoir de transformation. Du second il travaille la singularité des objets et leur métamorphose dans un jeu de proximité, perturbé par la distance et la variation d’échelle.

Expositions récentes :
2013 – « There Are More Things », Galerie Exp12, Berlin, Allemagne.
2013 – Fif international festival of photography, Belo Horizonte, Brésil.

Prix :
2012 – Internation Awards of Architectural Photography, ARCHIFOTO, Mention spéciale du jury, France.
2010 – Prix lacritique.org – voies off, Arles.
2010 – Mission jeune artistes, Toulouse.

 

anaïs boudot

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Anaïs Boudot, « I am silver and exact », photographie.

Anaïs Boudot (née en 1984) vit et travaille à Roubaix.

Anaïs Boudot est photographe et récemment diplômée du Fresnoy, studio national des arts contemporains à Tourcoing. Elle n’a de cesse de développer dans ses travaux une exploration des moyens photographiques. Ses images témoignent de perceptions qui nous traversent. La dialectique entre ombre et lumière, la temporalité, le mouvement, la corporalité, le double, le trouble oculaire traversent chacun de ses travaux.

Expositions récentes :
2013 – Panorama 15 au Fresnoy, Studio national des arts contemporains, Tourcoing.
You I Landscape, Triennale Jeune Création 2013_- Luxembourg et Grande Région, Carré Rotondes.
2012 – PANORAMA 14: selected works from Le Fresnoy Art Centre, CAC Vilnius.
Panorama 14 au Fresnoy, Studio national des arts contemporains, Tourcoing.

 

nicolas gaillardon

 

Nicolas GAILLARDON Mister President 2009 125X77X64,5cm technique mixte

Nicolas Gaillardon, Mr President, bois, tissus, micros, 125 x 77 x 64,5 cm, 2009. Photo : François Fernandez.

Nicolas Gaillardon (né en 1983) vit à Lille et travaille à Lille et Orléans.

Nicolas Gaillardon retravaille des images puisées dans notre environnement quotidien et médiatique. Il en extrait les codes et les symboles pour nous montrer les dérèglements et les situations absurdes de notre société contemporaine. Poésie teintée d’humour et de violence, son œuvre interroge notre perception du réel et déjoue nos préjugés et nos idées reçues.

Dorothée Duvivier

Expositions récentes :
2013 – Watch this space, biennale du réseau 50° Nord, BPS.22, Charleroi (BE).
Virtual Reality, Foundry Art Centre, St Charles, Missouri (USA).
Made in friche #6, Astéride, Belle de Mai, Marseille.
In Occursus, 38 quai Notre-Dame, Tournai (BE).
Entrée en matière, Paris.
2012 – Biennale d’art contemporain de Bourges 2012.
Biennale de Mulhouse 012.

 

aurélien maillard

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Aurélien Maillard, Sans titre (impact circulaire), bois peint et colle, 360 x 304 cm, profondeur variable, centre d’art de Wazemmes, Lille (FR), 2012. Photo : Rémi Vimont.

Aurélien Maillard (né en 1976) vit et travaille à Boulogne-sur-Mer.

Formé à l’école des beaux-arts de Rennes et au département arts plastiques de l’université Rennes_2, il a développé une pratique de sculpteur. Il confronte un vocabulaire formel résolument minimal à des gestes et des pratiques proches de l’artisanat. Il confère ainsi à ses œuvres un statut ambigu entre production industrielle au fini impeccable et objets sensibles investis d’une dimension spirituelle.

Expositions récentes :
2013 – Sea you soon, Welchrome, Boulogne-sur-Mer.
2012 – L’équilibre des forces,_Centre d’art de Wazemmes, Lille.
La nuit de l’archi,_imprimerie Campin,Tournai (B).
2011 – Diorama, artiste invité pour la 5° édition du_Boulevard Sainte Beuve, Boulogne-sur-Mer.
2010 – Jeune Création, le 104, Paris.